Décryptage et Revalorisation de L'Art de L’Écu, de La Chevalerie et du Haut Langage Poétique en Héraldique. Courtoisie, Discipline, Raffinement de La Conscience, état de Vigilance et Intention d'Unicité en La Fraternité d'un Nouveau Monde !

mardi 21 juin 2016

Cinq Rochers

Blason des Raimond de Brignon, seigneurs du village du XIème au XVIIème siècles.

D'azur à cinq rochers d'or dont deux mouvant de la pointe, ordonnés en sautoir.


En Ton Azur de Beauté, voici mon Emblème
As-tu jamais cherché autre Sacralité en ce monde ?
J'ai entendu le Doux Chant de ce qui se nommait Loyauté
Mon Ravissement fut à ce jour d'une vérité Suprême
Les Cieux s'offrent en ces tremblantes Ondes
Lors que palpitent Les Phrasés tout de Beauté
Mille Révérences qui sont à nous rappeler Noblesse
Soyons en Paix, Ô Paix Vénérable qui se veut allégresse
Cinq Rochers m'ont fait parvenir leur Secret enflammé
Je suis étourdie des ferventes prières qui se désirent Union
Le Mariage Célestiel des fougues de L'Absolu Clamé
Évanescentes floraisons d'un Soleil que nous saluons
Vois comme L'Essence est L'intime décence
Lors que tout est à se signifier en une Perfection
Flamboiement des vifs Discours de La Conscience
Le cœur est à s'unifier des troublantes errances
Crucialité de La Pureté et de La Constance
Vois comme sont ces fermes rochers, Ta Puissance
Ô Les Univers qui sont encore à se magnifier
En ces Régions Rayonnantes de Ta Sainte Face
Piliers de L'Oraison de La Pure Transcendance
Ô Vénus Occultée en ces Bras des Nuits qui s'effacent
Ton Étreinte Mercurielle devient Virginale Connaissance
Lors que L'Aube se lève en ce Voilé des Nuages
Accomplissement d'une Vie devenue Sens
Les Fleuves se rencontrent en cet insolite Voyage
As-tu désiré autre chose qui ne soit cette Présence,
Lors que tes pas émus effleurent le Sol en cette Grâce ?
Ce Cœur Bouclier témoigne de ma Profonde Reconnaissance
Depuis les Temps reculés, depuis tout ce qui me dépasse
Je suis l'Echo et je suis La Transe des délicats mots
Entends comme mon âme épouse cette Vibrance
Entends, toi, en mon cœur ces doux et violents soubresauts !

Naïla